Fortement dépendant des activités économiques, industrielles et agricoles, du Sud-ouest et de la qualité de ses liaisons ferrées et routières, il reçoit principalement des produits pétroliers et chimiques, des engrais manufacturés, de l’alimentation animale et exporte des céréales et oléagineux (le port de Bordeaux est le 1er port exportateur de maïs en Europe) et des produits forestiers.
Bien sûr, le Port de Bordeaux a aussi développé une offre « conteneurs » et permet des liaisons régulières avec 300 ports dans le monde. Pour traiter efficacement ces trafics, il exploite 6 terminaux spécialisés.
En 2004 le Port de Bordeaux investira environ 18 millions d’euros grâce à l’aide partielle de l’Etat, des collectivités territoriales et du FEDER, auxquels s’ajoutent les investissements réalisés par les entreprises travaillant sur le Port.
Pour le valoriser, il développe, seul ou en partenariat avec des promoteurs, des plates-formes logistiques ou restructure des hangars anciens en pôles tertiaires.
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Photo Montoux
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